Engager Borders Africa appelle à la soumission d’histoires de 250 mots

Êtes-vous Africain qui avez connu l’extrémisme violent ou le discours de haine ? Êtes-vous écrivain avec une histoire traitant de ce sujet et de problèmes connexes ? Ceci est pour vous.

Engaging Borders Africa est un projet de STRADA Développement Initiative conçu pour améliorer l’inclusion sociale en générant et en vulgarisant des contre-récits organiques à la pensée extrémiste violente et au discours de haine à travers des histoires et des courts métrages de créateurs du Nigeria, d’Afrique de l’ouest et du continent.

Appel à candidatures

Pour générer ces contre-récits, les écrivains et les écrivains en herbe des pays sous-listés sont appelés à soumettre des concepts de nouvelles de 250 mots à comms@engagingborders.com

Date limite: 9th décembre 2021.

Pays: Nigeria, Niger, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Mali Kenya.

Format: envoyer en pièce jointe avec l’objet de l’e-mail « Pays Engageant les frontières_Nom+Nom », accompagné d’une note de motivation d’un paragraphe.

Les meilleurs concepts d’histoires seront invités à un atelier de 2 jours sur l’écriture créative et la prévention et la lutte contre l’extrémisme violent (PCVE), après quoi ils doivent soumettre une nouvelle de 3 500 à 5 000 mots.

Les candidats sélectionnés recevront des indemnités journalières et une offre pour les droits de première publication.

À propos de nous

STRADA a identifié les détails de la crise de stabilité de l’État au Sahel et au Nigeria en particulier, identifiant la rhétorique et le recrutement extrémistes violents, ainsi que la centralisation croissante des positions extrêmes dans le discours social, comme des problèmes majeurs. Cela a conduit à des cas de violence et à la polarisation des sociétés le long de lignes de fracture traditionnelles et puissantes telles que l’ethnicité, la religion et le genre. Des exemples en sont le nord-est du Nigeria où règne Boko Haram, qui fait lui-même partie du Sahel et comprend divers groupes extrémistes allant d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) au Mali à al-Shabaab en Afrique de l’Est.

Richard Ali, chef et organisateur du projet, estime qu’à mesure que les gens deviennent plus connectés via Internet et les médias sociaux, il y a eu une augmentation de la rhétorique extrémiste violente et des discours de haine extrêmes, qui sont devenus répandus, utilisant des moyens sophistiqués d’organisation et de diffusion. « Ceux-ci créent des catégories et des contre-catégories de victimisation de manière à déchirer le tissu des sociétés laïques et cosmopolites », a-t-il souligné.

Le projet Engaging Borders Africa est conçu pour renforcer les capacités des écrivains du Nigeria, de la Côte d’Ivoire, du Mali, du Niger, du Burkina Faso et du Kenya à projeter des histoires qui contredisent les récits existants sur l’extrémisme violent et le discours de haine.

Le projet Engaging Borders est mis en œuvre avec le soutien d’OSIWA et en partenariat avec Jalada Africa, l’Association des auteurs nigérians et 1949Books.com

Signé,
Janice Malachie,
Officier d’administration,
+234 808 537 7559,
janice@engagingborders.com

2 thoughts on “Engager Borders Africa appelle à la soumission d’histoires de 250 mots”

  1. User Avatar

    DEAR SIR,
    IT IS A GOOD THINGS TO ORGANISE THIS ONE.
    REALLY VIOLENT EXTREMISM IS A BAD PHENOMENON
    WHICH DISTURB SAHEL COUNTRIES AND BEYOND INTERNATIONAL COMMUNITY.
    KABIROU ISSA POLICEMAN IN NIGER REPUBLIC AND STUDENT IN MASTER IN INTERNATIONAL
    RELATIONS SECURITY STUDIES CONFLICT MANAGEMENT AND PEACE POLITICS FROM NIAMEY
    UNIVERSITY
    THANK YOU

    1. User Avatar

      Indeed. Extremism in all forms presents a danger because it shrinks the civic space and, using fear, keeps members of society away from innovation and development. This is why PCVE is so important.

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